Pour toutes les mamans… et pour les autres aussi !

Je finis aujourd’hui l’un des classiques de la littérature sénégalaise, que m’a offert Atata, le byfall de mon quartier. Dans les dernières pages, ces lignes qui racontent l’amour maternel – mais qui disent tout aussi bien le coeur des autres, ou du moins ce qu’on aimerait en faire…

Bonne lecture !

 

« On est mère pour comprendre l’inexplicable. On est mère pour illuminer les ténèbres. On est mère pour couver, quand les éclairs zèbrent la nuit, quand le tonnerre viole la terre, quand la boue enlise. On est mère pour aimer sans commencement ni fin »

 

Mariama Bâ, Une si longue lettre

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