En l’honneur de la madrilène…
Quand je suis parti à Dakar,
j’ai reçu en cadeau un magnifique carnet,
avec dessus cette non moins belle poésie d’Eugène Guillevic,
qui résume bien ma conviction profonde, en bon homme itinérant que je suis :
l’ailleurs,
y a pas forcément besoin de faire des milliers de kilomètres pour le trouver…
Aujourd’hui qu’elle se bat pour me faire venir à Madrid sur les ailes du
Concours le plus absurde du monde,
j’ai voulu lui faire un clin d’oeil !