Bonne route à toi…
Voilà que l’un de mes frères depuis bien longtemps,
jumeau d’âme et de baskets,
s’est remis en route vers Addis Abeba,
où je l’avais croisé pour la dernière fois
lors de mon passage éclair et surréel dans la ville de l’Union Africaine.
Comme il est du genre à tout faire simplement,
il se trouve que sa route entre Paris et l’Ethiopie
passe par l’Argentine,
et cette ville de Buenos Aires qui m’est chère entre toutes
(salut à vous, les habitantes !)
et qui figure en bonne place dans L’Homme itinérant.
Salut à toi, mon ami !
Puissions nous nous revenir vite,
ici ou là,
(ou même ailleurs, qui sait…?)
Parce que quand t’es pas là,
tu manques.
ps : et merci pour les clopes éthiopiennes !