J’habite tant de voyages

Parce que si souvent, il le dit si bien,

j’emprunte encore une fois ses mots au grand Allain Leprest

– grâce à ton magnifique cadeau, ils m’accompagnent si souvent…

 

Je sais, je sais, c’est le Monde

Partout où mènent mes pas

Je ne m’en retranche pas

Je le sais, c’est notre Monde

C’est le cocon des humains

Mais est-ce vraiment le mien ?

Je sais, je sais, c’est la Terre
Ça n’est pas un sacrifice
De me croire un peu son fils
Je le sais, c’est notre Terre
Quatre murs, quatre saisons
Sont-ils vraiment ma maison ?

J’habite tant de voyages
De creux, de mains, de nuages
J’habite des cieux sans bornes
Rien qui n’ait vraiment de forme

Je le sais, c’est la planète
J’y sème ce que je pleus
Des parfums de tabac bleu
Je sais, c’est notre planète
De l’écume et de la roche
Mais suis-je vraiment son proche ?

Je le sais, c’est un des astres
Le plus beau de l’Univers
Je sais, c’est un livre ouvert
Je le sais, c’est un désastre
C’est un joyau dans l’Espace
Y suis-je bien à ma place ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

%d blogueurs aiment cette page :